L’augmentation des prix est due à l’augmentation des prix des services ainsi que de la nourriture. Tout en restant très élevées, les hausses de prix liées à l’énergie ont néanmoins ralenti, rapporte l’Institut de la statistique.

Une croissance moins mauvaise que prévu

En revanche, la croissance a été moins mauvaise que prévu au cours des trois derniers mois : la France a enregistré une croissance nette de 0,5 % au printemps, après un premier trimestre où le PIB s’est contracté de 0,2 %. La croissance au deuxième trimestre était attendue à 0,2 % par la Banque de France et à 0,25 % par l’INSEE, et s’établit donc finalement à 0,5 % par rapport au premier trimestre. Cette bonne tenue de l’économie française au deuxième trimestre s’explique notamment par la contribution nettement positive du commerce extérieur à la croissance.